Série LAdultère : (Partie 6). Alexandra Trompe Son Futur Mari Avant Son Mariage.1/4
Je mappelle Alexandra, je vais vous raconter mes liaisons adultères. La première se passa un an avant mon mariage mais je sortais déjà avec Armand mon futur mari depuis trois.
Aujourdhui, je suis une femme de 42 ans, mariée depuis 15 ans, à un PDG dune très importante société de la région, proche de la soixantaine. Armand mon époux de 18 ans mon ainé mavait donné deux beaux s : Élisa laînée une charmante petite fille de 12 ans et Gaétan un adorable petit garçon de 9 ans. En quinze années de mariage, je navais jamais trompé mon mari, ce nétait pourtant pas les occasions qui mavaient manquée, mais je laimais beaucoup. Je lavais connu lors dune séance de photos alors que jétais encore étudiante.
Pour des raisons financières afin de payer mes études, je posais pour une marque de lingerie féminine, lorsque javais rencontré Armand le frère du photographe. Étant veuf très jeune, il avait à peine 40 ans lorsque nous nous sommes connus, jallais sur ma 22e année. Sortant dun chagrin damour six mois auparavant, je me suis laissée bercer, sous le charme de ce beau parleur. Il était riche et bel homme, cétait comme dans un conte de fée, je devenais une princesse. Ce quadragénaire me sortait dans de beaux restaurants, machetait des vêtements de marque, moffrait des bijoux, me payait mes études, jétais aux anges. Jétais à cent lieues dêtre amoureuse mais je me plaisais beaucoup avec lui puis au fur et à mesure, mes sentiments sont devenus plus forts, après mon mariage, je pouvais dire que je laimais profondément.
Je mesure 1,69 m, des jambes assez longues, un fessier galbé, une jolie petite poitrine ferme pour la quarantaine et mes deux s. Mes cheveux ondulés châtains sont coupés assez courts, et jentretiens beaucoup mon visage, mes yeux sont bleu foncé, ma bouche un peu pulpeuse et mon sourire me rendent plus malicieuse. Mon rang dépouse dun homme daffaires, moblige à rester toujours élégante mais jaime le naturel, je porte les tenues confortables et un maquillage discret.
À cette époque, javais vingt-six ans, javais fini mes études, mon mari Armand étant beaucoup pris par son entreprise, me demanda de lui donner un coup de main. Je laidais dans certains rendez-vous daffaire, les moins importantes quil ne pouvait gérer lui-même par manque de temps car il tenait que son personnel soccupe à fond de leurs tâches pour lesquelles il était rémunéré et ne se dispersent pas pour des futilités qui ne les concernaient pas.
Ce jour-là, je sortais dune entorse que je métais faites lors de mon footing matinal une bonne quinzaine de jours plus tôt. Mais je ne pouvais pas encore conduire, le médecin me lavait fortement déconseillé. Javais rendez-vous pour la signature dun contrat de location, avec un bayeur à 50 kilomètres doù jhabitais. Armand tenait beaucoup à cet immeuble, il lavait déjà visité trois fois. Le patron de lagence, sachant que je ne pouvais pas prendre mon véhicule et ne pouvant venir me chercher lui-même, menvoya un chauffeur qui nétait autre que son fils.
Jétais vêtue uniquement dune petite robe dété blanche à liserés roses marrivant bien au-dessus du genou. Lorsque le fils du bailleur était arrivé dans la cour de notre domicile, je lattendais avec ma mallette et mon blaser sur le bras. Il était descendu de la voiture et mouvrit la portière arrière afin que je range mes affaires sur le siège. Machinalement, je me suis penchée pour placer mon sac et étant assez maniaque, je pris mon temps pour ne pas froisser mon vêtement.
Jétais debout, les jambes droites, légèrement écartées et mon buste disparaissait dans lhabitacle. Il avait devant ses yeux mon arrière train que joffrais à sa vue, sans le vouloir.
Étant donné la jupe courte que je portais, mes jambes étaient largement dénudées, mes cuisses étaient libres de tout tissu. Dans le peu de conversation que lon avait eu, connaissant déjà mon mari, il avait cru que jétais probablement sa fille, il mavait même dit quil me croyait plus jeune, lorsque je lui avais dit que javais déjà 26 ans. Au départ, il pensait me draguer, mais tout ceci lavait un peu refroidi. Ce qui ne lempêchait pas de continuer à me regarder avec envie, surtout que mon décolleté était assez prononcé et que mes jambes étaient suffisamment dénudées.
Arrivés au rendez-vous, Sophie la collaboratrice dArmand ne connaissant pas les lieux tenait absolument à tout visiter, pour ma part, ne pouvant pas marcher et connaissant les lieux, je métais installé dans un fauteuil dans le hall dentrée en attendant la signature du contrat. David qui devait au préalable partir retrouver ses amis, ne voulant pas me laisser seule, son père lui demanda sil pouvait me tenir compagnie. Il avait accepté sans discuter, il avait bien lintention de le lui demander. Je métais installée dans le fauteuil en face afin quil puisse avoir une vue imprenable sur mon entrejambe, malgré que je fisse attention de ne dévoiler quun tout petit peu de mes jambes.
Au fur et à mesure de la discussion, il rougissait lorsque je lui parlais de sa petite amie et ment je craquais pour lui, jécartais légèrement les jambes pour finir carrément à lui dévoiler le haut de mon entrejambe, il eut même le privilège de connaitre le coloris de mon string.
À cet instant, David dit à son père quil voulait bien me raccompagner chez moi, ce nétait pas prévu comme cela mais javais adoré sa proposition. Jétais tombée dans mon propre piège, javais une réelle attirance par ce jeune garçon qui me faisait vibrer, je mouillais le fond de ma petite culotte, je lavoue bien volontiers.
Javais immédiatement compris que David voulait rester un peu en ma compagnie. Au retour, sur le siège passager, javais bien remonté ma robe afin de dévoiler mes cuisses entièrement. Il ne parvenait pas à détourner les yeux du spectacle que je lui offrais, je navais pas cessé de lancer de petites allusions mais je voyais quil avait des difficultés de me draguer, pourtant jétais sûre et certaine quil avait envie de moi. Jétais exactement dans le même cas, je voulais lui faire lamour, javais pris ma décision de ne pas laisser échapper une telle occasion. Je me disais que je nétais pas encore mariée et je ne prenais pas cela comme une infidélité. Mais avec le recul, je naurais certainement pas accepté quArmand fasse la même chose.
Je lui avais demandé de ne pas prendre lautoroute, je pensai quil avait compris et devait me prendre pour une salope. Après une dizaine de kilomètres, arrivée dans le centre dune petite ville, je lui demandai de marrêter à une pharmacie. Nous avions roulé jusquà la sortie du village, je lui avais demandé de sarrêter une nouvelle fois sur le parking dun petit hôtel. Il était devenu rouge écarlate, il ne pouvait plus reculer mais il ny croyait pas vraiment. Je détachai ma ceinture, me tourna légèrement pour lui faire face et lui dit en le fixant droit dans les yeux :
Comme tu es beau David ! Lui dis-je sensuellement.
Et vous donc, vous êtes un vrai canon.
Je me penchai vers lui, pour lembrasser, il se pencha également mais sa ceinture de sécurité lempêcha davancer. Je me mis à rire et lui dit :
Descends, nous serons bien mieux à lintérieur dans une chambre. Si tu en as envie bien sûr.
Je crois rêver ! me dit-il, je naurais jamais imaginé que cela puisse être possible.
Notre baiser avait duré une éternité. Comme par magie, dun habitacle dune auto à une chambre dhôtel, nous nous sommes vite retrouvés à poil sur ce lit, il navait de cesse de membrasser. Il me caressait avec des gestes délicats, ses mains parcouraient mon corps comme je lui ordonnais. Sa main se retrouva sur la peau de mes cuisses, jécartais un peu plus les jambes afin quil puisse accéder à destination :
Oui David continue, nait pas peur, fais-moi du bien.
Je mouillais ses doigts tellement jétais dans un état dexcitation, il membrassait les seins, puis passa sa langue sur mon sexe, mais il était temps, javais peur darriver en retard, je pris donc linitiative. Je me mis à genoux sur le lit, appuyant fermement sur son épaule afin quil soit à son tour, à plat dos. Je me glissai entre ses jambes, baissai la tête, je navais pas besoin de le branler, sa verge était raide et bien droite. Je lui fis une fellation, en lui massant fortement son ventre et son torse et de temps à autres ses bourses pleines. David fermait les yeux, il était en plein rêve, cétait la première fois quil ressentait un plaisir et un désir comme celui-là.
Après quelques minutes, je métais penchée sur la table de nuit, attrapant mon sac et je lui mis un préservatif sur sa queue en érection, elle était si belle que je navais pas envie de lui enfiler mais, il valait mieux rester prudente. Je métais remise en position de cavalière, me relevai et enfourchai mon jeune amant qui souriait comme un . Je lui imposais une danse infernale avec mon bassin. Je lui pris les mains pour les poser sur mes seins, il les massait, les caressait fortement, me pinçait les tétons. De temps en temps je lembrassais à pleine langue. Jaccélérais le mouvement. Il nen pouvait plus, il se cambra, je me contractai sur sa verge et avant le dernier sursaut, je lui dis :
Sur mes seins mon petit chéri
Il se retira rapidement en enlevant la capote et éjacula sur ma poitrine par saccades, plusieurs jets de sperme entre mes deux seins. De longues coulées de jouissance coula sur mes cuisses. Nous avons connu un instant magique. Nous sommes allongés quelques temps, nos baisers et nos caresses reprirent, puis comme mon envie de refaire lamour avec lui me taraudait le ventre, je le caressais au bon endroit :
Tu as encore le temps ? Me demanda-t-il ?
Normalement non ! Mais je trouverai une excuse, ne tinquiète pas. Fais-moi encore lamour.
Ce jeune étalon était dune résistance et dune puissance incroyable, après avoir repris nos esprits en parlant damour et en nous embrassant, nous avions une nouvelle fois fait lamour mais il avait tenu à prendre les directives, ce qui ne mavait pas du tout déplu, javais, une fois encore jouie puissamment en inondant les draps. Quel bonheur pour moi
Mais cette fois, jallais être en retard.
Nous nous sommes retrouvés sous la douche ensemble et surprenant de sa part, il me parla de sodomie. Je lui dis que je navais jamais tenté lexpérience et que javais peur davoir mal. Il me dit : « Ne tinquiète pas entre jeune, nous utilisons tous cette pratique sexuelle, cest un bon moyen de contraception, je te promets que tu nauras pas mal bien au contraire ».
Il mexpliqua que la préparation était importante, il mavait fait me pencher en avant, laissant ma croupe bien en évidence puis en écartant mes fesses, il avait plaqué le jet fort et mince de la pomme de douche sur mon anus, javais ressenti un effet très agréable de leau tiède qui rentrait dans mon ventre. David rebandait de plus belle, je me suis essuyée et il me dit de minstaller à quatre pattes sur le lit.
Je regardais ma montre, cette fois cétait trop tard, je serais en retard mais je men moquais trop impatiente de connaitre cette pratique, David mexcitait. Il sinstalla derrière moi et mavait caressé avec sa langue, mouillé lanus avec sa salive et enfilait tour à tour un doigt, puis deux en écartant délicatement mon sphincter pour finalement mettre le troisième, ce qui permit de me dilater entièrement.
Lorsquil me sodomisa, non seulement je navais pas eu mal mais jai pris mon pied. Mon orgasme malgré quil ne fût pas comme dhabitude, fut gigantesque, je connaissais autre chose, tout mon corps sétait mis à frissonner, jen avais la chair de poule et mon plaisir fut total.
Malheureusement, tout avait une fin, nous devions tous les deux rentrer. Mais cette fin fut tragique, à quelques kilomètres de chez-moi, javais vraiment envie de le revoir, ne serait-ce que quelques fois, il mannonça, lorsque je lui avais demandé son numéro de téléphone :
Je suis vraiment désolé
Je pars demain, je vais habiter à Bordeaux pour mes études, je crains que nous ne nous revoyions plus.
Je restai bouche bée, je ne pouvais plus parler, je lui avais, en quelque sorte, servi de cadeau dadieu, il continua :
Tu as été super géniale et tu seras mon plus beau souvenir. Tu es magnifique Alex et je ne toublierai jamais.
Lorsquil mavait raccompagné devant la maison, il voulut membrasser, je fus contrainte de le repousser, il lavait compris, mon mari mattendait, je suis sortie de la voiture, je ne voulais pas le regarder, javais très envie de pleurer mais javais pourtant fixé mon regard sur sa voiture qui disparaissait dans la nuit. Je me demande si Armand avait cru à mon histoire de bouchon sur la route, vu la tête que javais faite et la sienne pendant toute la soirée, je pense même quil sétait douté que je lavais trompé.
Je continuerai à vous conter la suite, malgré cette petite faute, je suis restée fidèle pendant 14 ans. Depuis jai connu bien dautres aventures afin de satisfaire mes envies sexuelles.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Alexandra vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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